Les députés de la commission défense de l'Assemblée seront briefés par les services français le 18 septembre. L'occasion de leur rappeler qu'ils seront des cibles pour les agents étrangers et de les mettre en garde contre les tentatives d'ingérence et de manipulations.
L'ex-député macroniste, pressenti pour entrer au cabinet de Michel Barnier, était annoncé pour le poste de chef du pôle parlementaire. Il guigne aujourd'hui une autre fonction auprès du premier ministre.
À Strasbourg, les élus français ont manœuvré pour se placer, des présidences de commission au bureau du Parlement, en passant par les groupes politiques. Derrière cette stratégie d'influence, on trouve une poignée d'eurodéputés expérimentés qui ont su s'entendre au-delà des clivages partisans.
Visé par une enquête du Parquet national financier pour ses activités passées de consultant auprès du pass Culture, le lobbyiste Éric Garandeau a temporairement été mis à l'écart par son employeur actuel, TikTok France. Sa numéro deux, Sarah Khémis, a pris le relais le temps que le parquet rende ses conclusions.
Une cadre de la filiale de LVMH dédiée aux vins et spiritueux a été licenciée pour faute grave après avoir signalé des faits de harcèlement. À la suite d'une enquête menée à sens unique par le groupe, d'autres hauts dirigeants ont été remerciés dans la foulée, avec la bénédiction du siège de l'avenue Montaigne.
L'ex-ministre bulgare des affaires étrangères, Mariya Gabriel, est candidate au poste de secrétaire générale adjointe de l'OTAN. La nomination de cette ancienne commissaire européenne serait une bonne nouvelle pour Paris.
Le groupe de Patrick Drahi a recruté Christophe Famechon, un ancien de Fnac Darty, pour prendre la direction du service client "grand public" de SFR. L'opérateur est confronté à d'importants départs d'abonnés.
L'arrivée, lundi, d'Arnaud Bouyer, un ancien de Morgan Stanley, aux commandes de sa division banque d'affaires révèle l'ambition de la banque britannique de rattraper son retard en matière de conseil en fusion acquisition dans l'Hexagone.
Après avoir signé un accord de rémunération avec Le Monde pour l'utilisation de ses contenus en mars, le leader des fabricants de modèles d'intelligence artificielle a durci sa position en refusant d'entamer des négociations groupées avec l'Alliance de la presse d'information générale et le Syndicat des éditeurs de presse magazine.
À l'issue d'un an de travaux, le comité de pilotage des États généraux de l'information (EGI) rendra ses conclusions ce jeudi. Il se prononcera en faveur d'une mesure pour établir un droit d'agrément des journalistes sur la nomination de leur directeur de rédaction.